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son rêve d’acheter une DS 3 vire au cauchemar

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Quand Arnaud a acheté sa DS 3 1.2 PureTech en 2018, il pensait faire une bonne affaire. Une citadine élégante, seulement 31 000 km au compteur, achetée 8 310 € à un couple de personnes âgées. Mais aujourd’hui, il ne cache plus son désarroi : « Je suis tombé sur la voiture maudite ! »

Des problèmes en série

En effet, d’après le récit de l’Automobile Magazine, citant Le Parsien, cet homme a fait la désenchantante acquisition d’un modèle qui a été touché par l’essentiel des scandales que le monde de l’automobile a connu ces dernières années. Un bon condensé de problèmes. Avec le temps, sa DS 3 est devenue une source d’ennuis.

Avec son sacrosaint PureTech 1.2, et ses airbags Takata défectueux, les pannes et rappels ne pouvaient qu’être légion. Arnaud a tenté d’obtenir des réparations prises en charge par Stellantis, mais il dénonce un service client décevant : « Un vrai décalage entre la courtoisie de façade et la réalité des faits. »

Un service après-vente qui laisse à désirer

Malgré plusieurs demandes appuyées par son assureur, il affirme n’avoir jamais obtenu de véhicule de courtoisie pendant les réparations. Pendant ce temps, sa DS 3 a continué à perdre de la valeur. « Sur le marché de l’occasion, ma voiture ne vaut plus que le prix des pièces ! », lâche-t-il, amer.

Une lueur d’espoir ?

Face à cette situation, Stellantis assure vouloir trouver une solution rapidement. Mais pour Arnaud, le mal est fait : son rêve d’une DS 3 fiable et chic s’est transformé en cauchemar mécanique.

Pour résumer

Arnaud pensait avoir fait une bonne affaire en achetant une DS 3 1.2 PureTech d’occasion en 2018, mais son véhicule s’est révélé être un véritable cauchemar. Entre pannes à répétition, airbags Takata défectueux et rappels en série, il se retrouve confronté à un service après-vente peu réactif de Stellantis. Malgré ses demandes, il n’a jamais obtenu de véhicule de courtoisie, et sa voiture a perdu une grande partie de sa valeur. Bien que le constructeur promette une solution, Arnaud reste amer face à cette expérience décevante.

Jéthro Tissot





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