Zapping Autonews Hyundai Kona hybride (2023) : la seconde génération du SUV compact en vidéo
Samedi dernier en milieu de soirée, les gendarmes du peloton motorisé de La Verpillière ont vu passer une Mégane GT plus rapide qu’un TGV. À hauteur de Saint-Quentin-Fallavier (Isère), leur radar s’est emballé : 222 km/h enregistrés, soit un excès de plus de 90 km/h sur cette portion limitée à 130.
222 km/h pour rentrer à Bourgoin-Jallieu
Le conducteur, 22 ans, a été aussitôt interpellé. Calmement, il a tenté une défense très peu convaicante : « Je suis pressé de rentrer chez moi, à Bourgoin-Jallieu. » Rien de grave donc, juste un petit contresens avec le Code de la route. « Il a sorti une excuse bidon, mais ça, il n’y avait pas besoin de le préciser », glisse une source policière à nos confrères d’actu.fr.
Une Mégane à la fourrière, un permis envolé
Le véhicule ne lui appartenait même pas. C’était celui de son oncle, qui ne devait pas s’attendre à voir sa voiture finir à la fourrière. Car oui, la sanction n’a pas traîné : retrait immédiat du permis, et voiture immobilisée pour 7 jours, selon les consignes de la préfecture.
La vitesse retenue après application des marges reste de 213 km/h. Cela suffira largement à convoquer l’automobiliste devant la justice. Il voulait rentrer vite. Il rentrera sûrement beaucoup plus lentement la prochaine fois, à pied ou en transports en commun.
Flashé en grand excès de vitesse à 222 km/h, il était : « juste pressé de rentrer »
Ce samedi soir, sur l’A43, un jeune homme de 22 ans a été flashé à 222 km/h au volant d’une Mégane GT. Son excuse ? « J’étais pressé. » Une défense qui n’a pas convaincu les gendarmes… ni empêché la sanction.
