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« Je n’ai pas aimé mon week-end à Saint-Étienne »

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Ce n’était pourtant pas à un lyonnais au volant de cette voiture bien trop pressé, mais ce conducteur a trouvé la pire excuse pour tenter de se sortir de cette situation.

La vitesse comme thérapie ?

Habituellement, le grand classique des excès de vitesse est : « J’étais pressé. » Mais cette fois, le conducteur était en roue libre. Lorsque les forces de l’ordre l’ont intercepté à 257 km/h au lieu des 130 autorisés, celui-ci aurait déclaré n’avoir « pas aimé son week-end à Saint-Étienne ». Une blague qui n’a rien changé à au verdit final : retrait immédiat du permis de conduire et voiture placée en fourrière.

Aucun humour sur l’autoroute

Si le trait d’humour peut parfois désamorcer une tension, les forces de l’ordre n’ont pas du tout rigoler avec cette tentative. À cette allure, le moindre obstacle devient une potentielle tragédie pour sa vie et celle des autres automobilistes. Les sanctions sont donc à la hauteur de l’irresponsabilité. Saint-Étienne n’a peut-être pas plu à ce conducteur, mais la justice, elle, ne ratera pas son rendez-vous.

Flashé en grand excès de vitesse à plus de 255 km/h : « Je n’ai pas aimé mon week-end à Saint-Étienne »

Flashé à 257 km/h sur l’Autoroute A43 pour fuir un mauvais week-end à Saint-Étienne ? Un conducteur a cru bon de transformer l’autoroute en circuit de F1 mais malheureusement pour lui, les gendarmes étaient sur sa route. Son permis de conduire s’est envolé, sa voiture a été immobilisée, et son excuse… a fini à la poubelle.

Mathis Poirot





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